Une journée au Domaine de Kerguénnec
Publié le 17 Octobre 2022
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Une journée au domaine de Kerguéhennec pour affiner sa sensibilité aux œuvres, à la nature et au bien être.
Une belle opportunité.
L’ensemble des élèves de troisième du collège Jules Ferry de Quimperlé a eu la chance de passer une journée originale dans un lieu dédié à l’art et à la nature pour un projet interdisciplinaire. Les professeurs d’EPS, de français, de SVT et d’arts plastiques ont organisé ce moment pédagogique visant plusieurs objectifs en lien avec les programmes.
Une journée en deux temps articulés autour du pique-nique zéro déchet.
Munis d’un livret pédagogique à compléter, les élèves ont participé à une course d’orientation à travers le parc paysager à la recherche des sculptures contemporaines et des essences d’arbre remarquables. « On a dû courir, marcher, s’orienter, se repérer, trouver la distance la plus courte pour être dans les temps, gérer son effort » témoigne Yanis. « La jetée, (œuvre d’Edouard Sautai), c’était calme. On courrait, on s’est arrêtée et on s’est pausé 2mn sur les filets au-dessus d ‘un ruisseau. Ca bougeait, c’était étonnant. Il y avait aussi le bruit des oiseaux. » se souvient Margot. « A côté de l’oeuvre, Portrait cartographique, de Pierre-Alexandre Remy, on apercevait l’étang et le château. Les feuilles roses, violettes, rouges et jaunes, c’était très beau. »a observé Maxence.
Une journée riche en expériences sensorielles mais aussi en expérimentations artistique….
Accompagnés des médiatrices du domaine, les élèves ont découvert les œuvres de Marc Didou. « C’est un travail sur les illusions, c’est interactif. T’es obligé de bouger pour remarquer l’effet, la forme qui représente quelque chose »analysent Chloé, Maïwen et Zoé. « Quand on regarde de face, on dirait un château sculpté, mais quand on regarde dans le miroir, on voit une tête de mort. C’est stylé et original. » pense Lou « J’ai aimé les œuvres de l’exposition. On n’a jamais vu ça. Il a dû chercher, travailler longtemps. Ça change de d’habitude, c’est pas du dessin. » rapporte Enrico.
Ils ont ensuite participé à un atelier artistique en lien avec l’exposition. « Ce que je préfère, c’est le dessin car c’est nous qui créons. On a fait un autoportrait et un portrait pour les mettre en perspective et créer une illusion avec le principe de l’agamographe !» déclare Nolann, enthousiaste.
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