Publié le 29 Mars 2021
Poésie et art postal se croisent au CDI pour ce nouveau printemps des poètes...
Collège Jules Ferry - Quimperlé
Collège public
Publié le 29 Mars 2021
Poésie et art postal se croisent au CDI pour ce nouveau printemps des poètes...
Publié le 11 Février 2020
Liberté Égalité Fraternité
Le collège Jules Ferry, un collège cosmopolite !
À l'occasion des journées portes ouvertes, les parents, inscrits aux cours de français, et les élèves ont écrit puis déclamé la devise de la France dans toutes les langues parlées ou apprises au collège : français, kikongo, allemand, tchèque, italien, géorgien, espagnol, arabe, latin, vietnamien, turc, anglais, roumain, breton, portugais et russe...
À écouter et à découvrir !
Publié le 20 Janvier 2020
Nous ne sommes pas au printemps, pourtant des fleurs de haïkus fleurissent au CDI !
La classe de 6e1, accompagnée de Mme Thomas et de Mme Montaland, a participé à un atelier animé par Fanny Chauffin à la médiathèque de Quimperlé. Il s'agissait de créer ces petits poèmes très courts, les "haïkus", sur le thème des fleurs. Appel aux souvenirs, aux émotions et en trois vers tout est dit :
Alibizia en fleurs-
la mésange chante
dans son parfum.
Chloé
Ma chemise blanche
tachée par les pissenlits-
soleil éblouissant.
Barnabé
Après le CDI, tous les haïkus-fleurs seront exposés à l'espace Benoîte Groult, pendant le festival Taol Kurun.
Et... deux élèves sont primés au concours de haïkus du festival ! Chloé pour son haïku cité précédemment et Mathis pour le haïku suivant :
Seul sur mon bureau
une plante carnivore
dans sa cage.
Publié le 17 Juin 2019
Le collège propose un dispositif "Ouvrir l'École aux parents pour la réussite des enfants" qui permet aux parents étrangers d'enfants scolarisés sur le territoire de bénéficier de cours de français. Samedi soir, ils recevaient leur diplôme attestant du nombre d'heure de formation et du niveau atteint. La soirée s'est clôturée par un repas aux couleurs du monde !
Publié le 6 Mai 2019
En binôme, des collégiens de La Villemarqué et Jules-Ferry ont participé à un concours de traduction du langage SMS au français.
Pour la première fois à destination des collégiens de La Villemarqué et Jules-Ferry, à Quimperlé, l’Association des membres de l’ordre des palmes académiques du Finistère a proposé un concours aux élèves de 3e. L’objectif : traduire des phrases écrites en langage textos en bon français, sans laisser de blanc.
« Ce concours a été réalisé sur la base du volontariat, souligne Jacqueline Halpert-Rouzic, responsable de l’organisation du concours à Quimperlé et membre de l’association. Les élèves ont travaillé en binômes, sur un texte écrit en langage SMS. Ils devaient le transcrire dans un langage correct et sans faute. » Ce type de concours a déjà été mené à Brest, l’an passé par exemple. À Quimperlé, le collège de La Villemarqué a vu quatorze binômes y participer et celui de Jules-Ferry, huit. Ils ont eu une demi-heure pour traduire.
Voici une phrase à traduire : « Georges greloT : le Kro KC navé pà éT remplaC. » Traduit, il faut lire : « Georges grelottait, le carreau cassé n’avait pas été remplacé. »
Le texte proposé était basé sur le thème de l’immigration. « À chaque fois, nous choisissons un texte qui touche les gens », explique la présidente de l’association, Marie-Thérèse Boissel.
Jeudi 2 mai, tous les élèves étaient réunis au collège de La Villemarqué pour la remise des prix : visites au zoo de Pont-Scorff, entrées pour le Musée de Pont-Aven, le cinéma Kerfany à Moëlan-sur-Mer, livres… Les deux meilleurs binômes se composent de Thaïs Dahirel et Margot Cyrille, et Emmanuel Plantec et Karl Thorel-Milanovic.
Source : B.G., Ouest-France Quimperlé, vendredi 3 mai 2019.
Publié le 29 Janvier 2019
Quimperlé - Haïkus. Carton plein : 1 161 participants
" Bruits de cascade la Laïta me parle - derrière, mes parents, indifférents " (Eloane du collège Jules Ferry à Quimperlé). Le haïku, petit poème de 17 syllabes et trois vers, a séduit. " 7...
Publié le 24 Janvier 2019
Quimperlé - Collège Jules-Ferry. Une ouverture sur le monde
Ce mardi midi, les élèves du collège Jules-Ferry ont dégusté un menu aux saveurs internationales : beignet de crevette à la vietnamienne, pité du Kosovo, byriani de poulet à l'irakienne, bo...
Publié le 21 Janvier 2019
Publié le 14 Novembre 2018
Les élèves de 6e ont participé au concours de haïkus organisé dans le cadre du festival Taol Kurun.
En atelier, Fanny Chauffin a immergé les élèves dans une ambiance sonore et visuelle sur le thème de la rivière, pour leur permettre de faire ressurgir un souvenir propice à l'écriture de ce petit poème d'origine japonaise. En voici quelques-uns :
Dans mon kayak
la branche d'automne barre le chemin
sur la rivière des rêves.
Mickaël
Au bord de la Laïta
une bergeronnette pressée
ne nous voit même pas.
Gabin
Dans la rivière glacée
je nage jusqu'au rocher
une libellule, comme un éclair.
Élise
Publié le 29 Mai 2018
Les élèves de 5ème ont appris et illustré des expressions idiomatiques en anglais, espagnol et anglais Ce travail a été présenté lors de la journée "Faites des langues" le 29 mai dernier. Bravo aux artistes !
Publié le 23 Mai 2018
Publié le 10 Avril 2018
Les élèves de 6ème 2 ont travaillé sur la présentation du collège tandis que les 5èmes en début d'année ont proposé quelques idées pour une école idéale...
Publié le 12 Février 2018
Source : Ouest-France Quimperlé, 9 février 2018
Les élèves allophones du collège Jules-Ferry à Quimperlé ont joué avec les mots de Léo Ferré, pour inventer des slams. Sous l’œil de Bruno Geneste.
« Les goélands chantent la symphonie de l’océan. » « La lumière du sable à l’infini, la petite musique des coquillages, le rivage et le froid bleu comme la mer. »
Voilà quelques-uns des slams inventés et écrits par les élèves allophones du collège Jules-Ferry, jeudi matin.
« Nous sommes partis d’un texte de Léo Ferré, La mémoire et la mer. Et pour que cela soit le plus ludique possible, on ne parle pas de poésie, mais de slam. Le résultat est étonnant et remarquable. Ce sont quand même des jeunes qui sont en cours d’apprentissage du français. Je suis subjugué », glisse Bruno Geneste, entre deux conseils aux collégiens.
Le poète intervient à Jules-Ferry, comme il le fait au collège La Villemarqué.
« Mais ici, je travaille différemment. Il n’y a pas de rime. C’est entièrement libre. Moi, je les accompagne », poursuit-il.
Il est aidé dans sa démarche par Sandra Veillon, professeur de français.
L’aboutissement de ce travail sur les mots et leur signification ? « Ils monteront tous sur la grande scène Benoîte-Groult, le mardi 20 mars, pour un grand concert de slam, dans le cadre du festival de la parole poétique (organisé par la Maison de la poésie du pays de Quimperlé). Ensuite, nous sortirons une anthologie. Mais ce sera un vrai livre, pas des feuilles photocopiées et agrafées. »
Publié le 22 Janvier 2018
Deux élèves du collège ont été primés pour leur haiku !
Chêne, grand chêne raconte moi ta vie dans le mur de pierres. Gabriel Dans le vieil arbre une seule pomme résiste à l'hiver. Noémie
Les auteurs de haiku ont été primés. Le concours était lancé dans le cadre du festival Taol Kurun.
Les haikistes se sont réunis vendredi soir, à la Maison d’Hippolyte. Fanny Chauffin a décerné les prix, et lu de sensationnelles bribes d’une poésie des plus fédératrices.
Il y avait trente personnes, confinées dans la chaleureuse Maison d’Hippolyte, vendredi soir. On est venus écouter des poèmes débarqués de toutes parts, des terres, des mers, des écoles et d’adultes confirmés.
Les langues se sont rapprochées en trois petits vers, de « Ah ! L’été arrive/L’arbre aux papillons/S’habille de ses plumeaux violets », ou de « Coincée sur un pommier/Les pommes me consolent/La lune me regarde. »
Et si le français a dominé en nombre, le breton a couru derrière pour résonner, et le gallo, en substance, a semblé si familier, et jumelé au français.
761 haïkus chantant saisons et contemplations, dansant avec les mots, sur un regard, les sensations d’un instant, ont été adressés cette année.
Courts, vifs, amoureux, oniriques, ou cocasses, ils ont tous eu « l’arbre » pour thème. Une muse qui a rassemblé les publics, que l’enfance s’est appropriée sans mal : « Le cerisier/A force de l’admirer/Je m’endors », qui a inspiré une mère : « Cerisier en fleur/Pour la première fois/Le bébé bouge », et séduit un homme : « Premiers bourgeons/Le nombril de ma voisine/A nouveau visible. »
Au printemps, il sera temps, pour les haikistes, de repenser des poésies, sur le thème, cette fois, de la rivière. Une merveilleuse façon de poser un regard, une plume, sur la poésie. « Le haiku est une maladie qui court », a salué Fanny Chauffin.
Tous les textes sont publiés sur le site www.taolkurun.free.fr.
Source : Ouest-France Quimperlé, 21 janvier 2018
Publié le 23 Novembre 2017
Les élèves de 6e participent au concours de haïkus organisé par Taol Kurun. Grâce à la médiathèque de Quimperlé, Fanny Chauffin et Maïwenn sont intervenues auprès des élèves pour les aider à écrire leur premier haïku... bientôt en ligne sur le site de Taol Kurun :
En cours de Français, les élèves de 6e ont découvert l'histoire du haïku puis réfléchi sur le thème de cette année : l'arbre.
Au CDI, Fanny Chauffin leur a demandé de penser très fort à un arbre, leur arbre, de l'imaginer à une saison et de réfléchir à ce qu'il évoquait pour eux, le tout en fermant les yeux...
Et voici quelques haïkus nés pendant cet atelier :
Acide et rouge vif
la cerise que je mange
seule au coin de l'arbre.
Zoé
Une feuille rousse
Le vent murmure
l'érable prend vie.
Sasha
Chêne, grand chêne
raconte-moi ta vie
dans le mur de pierre.
Gabriel
Sous le sapin
mon chat s'enfuit
pour la dernière fois
Gaëlle